Château de Coucy, ruines du donjon (panneaux acryliques)

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Type d'impression

Panneaux Acryliques

Panneaux Acryliques

La reproduction est imprimée sur un Papier FineArt satiné puis encapsulé entre un support Dibond de 3mm et une couche d'acrylique de 2mm.
Ce produit offre une plus grande sensation de profondeur et de volume grâce a « l'encapsulation ».

L'impression digitale FineArt Giclée est couramment utilisée pour la reproduction d'œuvres d'art. Elle offre une très grande durabilité grâce a l'utilisation de matériaux et d'encres à base de pigments naturels hautement résistants à la lumière et de conservation muséales.

  • Éco-responsable et recyclable

  • Produit prêt a poser, fourni avec un système d'accroche mural

  • Mise en valeur des couleurs, contraste et des détails de l'œuvre

  • Qualité d'impression optimales et finitions brillantes

  • Facile a nettoyer

Panneaux Acryliques Panneaux Acryliques

À propos de l'œuvre

Château de Coucy, ruines du donjon

Château de Coucy, ruines du donjon

Œuvre de : Christian Gluckman Christian Gluckman - Château de Coucy, ruines du donjon - © Christian Gluckman - Centre des monuments nationaux

Mystères et Vestiges Château de Coucy

À propos du monument

Château de Coucy

Le château d'une puissante famille. En 1214, Enguerrand III de Coucy participe à la victoire de la bataille de Bouvines, près de Lille, première grande bataille européenne et ciment du sentiment national naissant. Au XIVe siècle, Enguerrand VII de Coucy, grand diplomate, en fait un somptueux palais.

Un décor qui survit à sa disparition. La première représentation connue du thème iconographique des Neuf Preuses, sculptée sur une cheminée monumentale aménagée à Coucy par Louis d'Orléans vers 1400 et publiée au XVIe siècle par Androuet du Cerceau, inspire au XIXe siècle l'architecte Viollet-le-Duc pour réaliser la cheminée de la grande salle du château de Pierrefonds.

Quatre siècles de destruction. Démantelé en 1652, le château sert de carrière de pierres jusqu'à son acquisition par Louis-Philippe en 1829, puis par l'État en 1848. Plusieurs architectes, dont Viollet-le-Duc, se succèdent pour préserver les ruines. Au cours de la Première Guerre mondiale, les quatre tours et le donjon sont détruits par l'armée allemande.