Château de Haroué, façade sud sur le jardin (toiles encadrées)

Choisir la couleur
Choisir une ambiance
{{ room.title }}
{{ new Intl.NumberFormat('fr').format(dimensions.legend.w) }} {{ dimensions.legend.unit }}
{{ new Intl.NumberFormat('fr').format(dimensions.legend.h) }} {{ dimensions.legend.unit }}

Toiles encadrées

Impression Giclée sur toile Fine Art Giclée montée sur un châssis en bois et encadrée. Pour une plus grande conformité avec l'œuvre originale, l'impression couvrira la totalité du format choisi, la partie de la toile recouvrant les côtés du châssis restant blanche. Le cadre est constitué d'une moulure en bois de structure simple, l'idée étant de privilégier l'œuvre plutôt que le cadre. Nous offrons le choix entre trois finitions : bois naturel, bois recouvert d'un vernis marron foncé et bois peint en noir. La reproduction sera expédiée sous emballage protecteur afin d'être livrée en parfait état.

Toiles encadrées Toiles encadrées Toiles encadrées

À propos de l'œuvre

Château de Haroué, façade sud sur le jardin

Œuvre de : Colombe Clier Colombe Clier - Château de Haroué, façade sud sur le jardin - © Colombe Clier - Centre des monuments nationaux

À propos du monument

Château d'Haroué

Un personnage important. Le château de Haroué est construit par l'architecte Germain Boffrand pour Marc de Beauvau (1676-1754), marquis de Beauvau, prince de Craon et du Saint-Empire, marquis de Haroué, grand connétable de Lorraine, grand d'Espagne et vice-roi de Toscane.

Une dimension symbolique. L'architecte a souhaité en faire le symbole du temps qui s'écoule avec ses 365 fenêtres, 52 cheminées, 12 tours et tourelles et 4 ponts franchissant les douves.

Des décors exceptionnels. La décoration a été en grande partie confiée à d'éminents artistes lorrains : Jean Lamour (1698-1771) pour les grilles, les balcons et la rampe d'escalier, et Barthélemy Guibal (1699-1757), sculpteur des fontaines de la place Stanislas à Nancy, pour la statuaire. Les visiteurs peuvent également y admirer un salon chinois décoré par Jean Pillement (1698-1771) et des pièces de mobilier commandées initialement par Louis XVIII pour sa favorite, la Comtesse du Cayla, dont la fille épousa un Prince de Beauvau-Craon. Le parc à la française a été dessiné par l'architecte-décorateur Emilio Terry et les paysagistes Achille et Henri Duchêne.